Titan-Fix, un système de fixation pour membrane lors d'une procédure de ROG

Un des facteurs clés du succès d'une procédure de Régénération Osseuse Guidée est la fonction barrière, pendant un temps suffisant, entre les cellules osseuses et celles des tissus. Titan-Fix sécurise la fonction barrière pendant la phase de cicatrisation, en fixant la membrane de manière simple³.
La fixation de la membrane permet d’éviter les micromouvements, susceptibles de perturber la différenciation des cellules souches mésenchymateuses en ostéoblastes tout en favorisant la formation de fibroblastes^1,2.

Les avantages de Titan-Fix (ancillaire classique)

• Pose simple et fixation rapide de la membrane grâce aux instruments spécialement conçus pour cette procédure.
• Stérilisation de l’ancillaire classique possible.
• Stockage simple des clous en titane facilité.

L’utilisation de Titan-Fix (ancillaire classique)

Champ d’application

Elévation du plancher sinusien

• Augmentation horizontale avec Geistlich Bio-Oss^®
• Fenestration au niveau du site implantaire
• Augmentation après prélèvement osseux rétromolaire et mentonnier

Composition du Titan-Fix 

• 1 ancillaire de pose de clous en titane classique
• 1 applicateur
• 3x5 minis clous en titane

Conseils d'utilisation 

• Le clou en titane est prélevé à l’aide de l’applicateur par encliquetage.
• Fixer la membrane Geistlich Bio-Gide^® avec les clous.
• Désengager l’applicateur par un mouvement latéral ou en utilisant la lame de scalpel dans la rainure de guidage.
• La membrane Geistlich Bio-Gide^® est réclinée, puis le site est augmenté avec Geistlich Bio-Oss®.
• Couverture définitive du site augmenté avec Geistlich Bio-Gide® et fermeture primaire (sans tension et isolé de la salive).

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• Contactez le Responsable Régional Geistlich de votre région 
• Contactez le Service Client

Bibliographie :

1. Nevins M, Mellonig J T. Int J Periodontics Restorative Dent. 1992; 12(2):96-111
2. Wikesjo UM, Nilveus R. J Periodontol. 1990 Dec; 61(12):719-724
3. Hutmacher D, Kirsch A, Ackermann KL, Hürzeler MB. Implantologie. 1998; 3:213-230